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La Discothèque Idéale > Noob's Guide to IL2 / Forgotten Battles / Pacific Fighters | ||
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All right, chaps ! Bon, avant tout, une petite présentation. Et malgré tout ce temps à y jouer (pas en continu, toutefois. Il s’est des fois passé un an sans que j’y touche), je me considère encore comme un (très) mauvais pilote. Ce qui ne m'empèche pas de m'amuser comme un fou à décoller, voler vers mon objectif et essayer de tirer sur ces points noirs qui vont dans tous les sens. Or, il m’est apparu en essayant d’initier des amis à ce fantastique jeu que c’est cette maîtrise de base de l’appareil et de principes de vol qui fait défaut pour seulement pouvoir avoir un peu de fun qui rebute et décourage au premier abord. C’est ce qui m’a donné envie de faire ce mini guide sans prétention : donner les conseils de base à quelqu’un qui, sans vouloir se prendre trop la tête, veut réussir à maîtriser un peu son avion pour pouvoir s’amuser un peu à jouer les nombreuses campagnes offline de Forgotten Battles ou de Pacific Fighters.
Nous allons donc commencer par le début : le patchage du bestiau. Oleg Maddox (le créateur du jeu) ne se foutant pas de la gueule du monde, il continue, tout en travaillant au futur Battle Of Britain en préparation, à nous sortir régulièrement des patchs gratos avec plein de beau contenu (peaufinage des modèles de vol, nouvelles cartes, nouveaux avions, nouveaux objets, ...). •Les gens qui possèdent IL2 Forgotten Batlles tout seul ou bien IL2 Forgotten Battles en version « merged » (c'est-à-dire combinée) avec une installation de Pacific Fighters. C’est évidemment la configuration recommandée qui permet d’accéder à l’ensemble des zones de combat et à l’ensemble des avions disponibles (voir plus bas pour la liste complète).
Les patchs se trouvent ici : Les personnes disposant de la version merged doivent prendre le fichier suivant : Les personnes disposant de la version de PF stand alone doivent suivre ce lien : http://patches.ubi.com/pacific_fighters/pf_403.exe Il est recommandé traditionnellement de lancer au moins une mission simple avec la verison non patchée pour s’assurer que tout va bien avant d’installer le patch.
Vous pouvez maintenant lancer le jeu et vous attaquer aux réglages des commandes. Assurez vous que votre joystick soit branché, calibré et fonctionnel. Voyons maintenant le strict minimum de touches à configurer : - Si vous ne disposez pas d’une molette de gaz, assurez-vous de binder les touches correspondant à la puissance du moteur. Faites comme vous le sentez à ce niveau là mais le minimum indispensable est une touche « plus de gaz », une touche « moins de gaz », une touche « 100 % » et une touche « 0 % de gaz ». Idéalement, j’attribuerais ça au pad numérique avec chaque chiffre correspondant à une dizaine (ex : 4 = 40 % de gaz, ect…) et le + et le – pour ajuster plus finement. - Les freins. Ne rigolez pas, c’est totalement indispensable. Traditionnellement, il s’agit de la touche « B » comme brakes. Il est parfois bon de rappeler qu’elle ne fonctionne qu’au sol !
- Le train d’atterrissage (dans le genre indispensable, celui là est pas mal aussi). Traditionnellement « G » comme gear. C’est une touche pivot. Un appui fait descendre les trains, un autre les fait remonter. Certains avions n’ont pas de train automatique ce qui nécessite de configurer d’autres touches mais nous verrons ça plus tard.
- Allumage du moteur : par défaut sur IL2, c’est « I » mais je suis habitué à mettre « E ». A vous de voir ce que vous préférez. - Les flaps. Il s’agit de petits bouts d’ailes rétractables qui augmentent la portance de l’avion au décollage et à l’atterrissage. Traditionnellement, « V » descend les flaps d’un cran. « F » les remonte d’un cran. La plupart des avions disposent des positions suivantes : pas de flaps / Combat / Décollage / Atterrissage. Certains avions plus rustiques disposent de moins de positions.
- Le palonnier. Le palonnier permet de contrôler votre appareil latéralement (axe horizontal). Si l’on s’en passera dans un premier temps en vol (on peut se le permettre car le modèle de vol est très simplifié. Il s’agit bien sur d’une hérésie dans des conditions réelles de vol), il va s’avérer absolument indispensable lors du décollage. A l’époque où je ne pouvais pas les attribuer sur des touches de mon joy (préférable), j’avais calibré les touches suivantes : « W » pour un coup de palonnier à gauche et « X » pour un coup de palonnier à droite.
- Il vous sera surement utile un jour ou l’autre de savoir que la touche CTRL – E vous permet de vous éjecter ! Il est recommandé d’être sur une trajectoire stable et avec suffisamment d’altitude pour le faire sous peine de s’apercevoir que toute collision un peu trop rapide avec le sol se termine souvent par une victoire sans appel de ce dernier.
- Le blocage de la roulette de queue. Personnellement, je ne l’utilise jamais mais c’est un tort. Bindez la touche que vous préférez, ça vous sera utile lors du décollage. Par ailleurs, il existe différentes commandes qui vous permettent de contrôler la vue. A noter que la souris vous permet de contrôler manuellement la vue, ainsi que le niveau de zoom. Pour ceux qui ne disposent pas de joy hat (chapeau chinois), il est recommandé de jouer avec son joystick dans la main droite et sa souris dans la main gauche. Un coup à prendre mais qui à défaut d’autre chose marche plutôt bien. J’ai longtemps joué online dans cette configuration.
Voilà, vous devriez être paré pour un décollage sur terrain ce qui constituera l’objet de notre leçon suivante (In two weeks, be sure, selon la traditionnelle formule d’Oleg Maddox lorsqu’on lui demande quand arrive le prochain patch). A noter que si vous décollez d’un porte-avion, vous aurez besoin de binder d’autres touches mais on y reviendra aussi probablement. En complément, pour ceux ça intéresse, la liste complète des avions dispos sur les versions « merged » crée par Badsight de l’excellent forum SimHQ. Merci à Carwin pour la relecture. |
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